Coups de cœur de libraires

La presse en parle

« Un texte d’une rare puissance qui risque de vous laisser abasourdi. »
Christophe Gilquin, L’Arbre à lettres (Paris, 12e)

« Attention chef-d’œuvre. Ce récit court et fulgurant allie le plus beau et le plus dur de ce
qui peut être vécu par un être humain. Un texte à découvrir à tout prix. »

Valérie Caffier, Le Divan (Paris 15e)

«  Un livre d’une grande noblesse qui réussit le pari de l’alchimie des contraires.  » 
Brindha Seethanen, Millepages (Vincennes)

« Un texte violemment magnifique. »
Graziella Wierzba, L’Éclectique (La Varenne)

« Transport est et demeurera inoubliable. »
Philippe Leconte, Le Livre écarlate (Paris 14e)

« De l’horreur du wagon archétypal à un somptueux cantique des cantiques, Yves Flank ose réunir les extrêmes et sublime ainsi l’indicible. »
Marie Hirigoyen, Librairie Hirigoyen (Bayonne)

« Ce premier roman ne nous épargne rien de la laideur et de la beauté. Nous glissons avec ce texte étrange, ambitieux, violent, charnel, bouleversant, comme le wagon sur ses rails, comme la langue sur la peau, comme un rêve sur l’homme endormi. ‌ »
Anna Schulmann, L’Écriture (Vaucresson) 

« Dans le train qui les emmène vers l’indicible, des voix s’élèvent pour raconter l’Horreur, mais aussi l’Amour et surtout l’Espoir d’être vivant, encore. En choisissant la forme du huis-clos, l’auteur nous propose un autre regard sur la Shoah, rarement vu en littérature. Un texte nécessaire, de toute beauté et absolument hypnotique  ! »
Juliette Lecœur, Librairie Montbarbon (Bourg-en-Bresse)

«  Hommage aux grands-mères disparues de l’auteur, Transport est un long poème en prose singulier, à l’écriture organique et poétique, qui capte sur le vif ce moment où nos humanités coudoient l’inacceptable. Et son refus de s’échapper du refuge qu’est l’esprit. Premier auteur de langue française à entrer dans le catalogue des éditions de l’Antilope, Yves Flank, qui n’est pas de la génération des témoins, prolonge, dans un texte lumineux, notre mémoire commune. Un appel éclatant et audacieux aux vivants.  »
Sarah Gastel, Terre des Livres (Lyon)

« Un premier roman bouleversant. (…) La faim, la soif, l’amour, la mort, les souvenirs, les rêves, la peur du lendemain se bousculent dans un texte semi-choral,d’une grande poésie, qu’il faut souhaiter voir et entendre sur scène. Un bel hommage d’Yves Flank à ses grands-mères disparues trop tôt. »
Isabelle Couriol, Librairie de Paris (Saint-Étienne)

« Des séquences pour dire l’horreur dans ce court texte d’une insolente beauté. Le corps souffre, se détache, l’esprit s’évade, il fait froid, il fait chaud, on ne peut nommer ce qui se joue. Un premier roman d’une étonnante maturité.  »
Myriam Rinaudo, Fnac Bellecour (Lyon)

« C’est un transport peu commun que nous donne à lire Yves Flank. Un transport collectif d’abord, suffocant, interminable vers une destination à laquelle on ne veut pas penser, un convoi qui déshumanise déjà… Et pour ne pas se perdre en chemin, pour tenir tête à la vie, il faut se raccrocher à soi-même, se plonger dans l’intime, se souvenir et invoquer l’amant tant aimé ou se réfugier dans ses rêves pour s’échapper en pensée et ne pas s’oublier dans ce voyage forcé… Un très beau premier roman, d’une grande sensibilité, d’une émotion et d’une force poétique, qui nous poursuit encore longtemps après lecture.  »
Anthony Bourel, Gibert Jeune (Paris 5e)

« Dans un wagon en route vers une mort certaine, un homme observe. Il observe les personnes meurtries entassées autours de lui. Dans un wagon, encore, toujours le même, une femme, désespérée et passionnée adresse un chant d’amour à son amant. Yves Flank livre un premier roman à la forme étonnante. Aussi sensuel que tragique. » 
Angélique Gallois, Les Guetteurs de vent (Paris 11e)

« Un très beau texte, d’une grande maîtrise d’écriture et à la construction originale,puissant, pour dire l’indicible. L’alchimie entre ce qui touche à la mort, la vie et l’amour est bouleversante. »
Daniel Cuny, Librairie du Marché (Fontainebleau)

 

Couverture de Comme deux sœurs

Yves Flank
Transport
15 €
Ouvrage publié en partenariat
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«  Une perle rare, à l’écriture ciselée, pure, libre et surprenante (…) Dans une langue magnifique, obsédante, ce livre aux confins du roman et du théâtre nous transporte aux limites de la vie. (…) Un livre inouï et bouleversant. » Lire l’article.
Christophe Girard, Libération

« Dans ce premier roman, Yves Flank n’a peur de rien. Ni d’écrire sur la Shoah à la première personne — lui qui n’est pas un témoin —, ni de bousculer les temporalités ou de parler cru. Il dérange, brise des tabous. Un moment on redoute qu’il aille trop loin, tant il mêle l’amour à la mort, l’horreur à l’érotisme dans un impérieux corps-à-corps. Mais non, il évite l’obscène. Il reste sur le seuil. Par la force de sa langue et l’intelligence de sa construction. Et son texte (…) ne s’approprie rien, ne montre rien, sinon le combat de deux âmes, de deux condamnés. Fictifs peut-être, mais bien vivants. » Lire l’article.
Béatrice Kahn, Télérama


«  Appel aux vivants (…) Ressusciter la parole et les rêves d’hommes et de femmes en route vers les camps de la mort, tel est le tour de force de ce premier roman.
(…) Certains événements sortent de l’Histoire en ce qu’ils atteignent une limite absolue. Au bout d’un certain temps, seule la voix d’un écrivain peut encore le faire savoir. » Lire l’article.
Philippe Garnier, Philosophie Magazine 

« Le paradoxe d’Éros et Thanatos (…) C’est un livre étrange, hors du commun, parce qu’il ne ressemble à aucune autre oeuvre ou témoignage sur la Shoah (…) qui pourrait être la forme amplifiée du Grand Voyage de Jorge Semprún (…)Inclassable, osé, d’une composition inhabituelle, d’une grande force d’évocation qui pourrait paraître dérangeante, Transport manifeste l’incorporation, au sens littéral, de l’expérience de ceux qui ont précédé et qui n’étaient plus pour le dire. (…) la force de la littérature face à l’anéantissement. » Lire l’article.
Laurence Podselver, La Nouvelle Quinzaine Littéraire

 « Yves Flank signe un premier roman singulier dont l’écriture, organique et contagieuse, palpite ou ralentit selon qu’elle est secouée d’un spasme de bile ou traversée d’un souvenir érotique. Obsédant. » Lire l’article.
Carol Binder, Actualité juive
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