Smotshè : biographie d’une rue juive de Varsovie

Couverture de Comme deux sœurs

Benny Mer 

336 pages, 23,50 €
Ouvrage publié avec le soutien de la Fondation pour la mémoire de la Shoah et le Centre national du livre ; et en partenariat avec Akadem.

 

 

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Présentation de l’ouvrage

Entre les deux guerres, les Juifs représentent environ un tiers de la population de Varsovie. Benny Mer choisit de les faire revivre à travers la visite guidée d’une des rues les plus pauvres du quartier juif de la ville, la rue Smocza (Smotshè en yiddish). Pour cela, il s’est plongé dans la presse yiddish, ses annonces, les faits divers, les fragments littéraires…
Les personnages rencontrés – souvent des petites gens, tailleurs, vendeuses au marché… – sont une source essentielle pour l’auteur. Il tente alors de retrouver ce qu’ils sont devenus après 1939 et parvient parfois à retracer qui a été enfermé dans le ghetto, qui y est mort, qui y a combattu durant l’insurrection, etc.

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Dans la presse

« Quelle bonne idée Gilles Rozier a eu de traduire ce livre étonnant. » (Henri Raczymow). Lire toute la chronique.

« Benny Mer recrée un monde oublié, et conduit ses lecteurs dans une rue juive engloutie parmi les ruines du ghetto, une rue aussi merveilleuse qu’effrayante. » (Jean-Yves Potel). Lire toute la chronique.

« À travers cette enquête se dessinent petit à petit les contours du rapport intime de son auteur avec le yiddish : ‘la rue Smotshè est pour la topographie ce que le yiddish est pour les langues’. » (Mikaël Gómez Guthart). Lire toute la chronique.

Interview de Benny Mer par Laurence Goldmann. Voir l’interview.

 

« Il y a de vrais livres qui méritent l’admiration » (Myriam Anissimov). Lire toute la chronique.

 

« Une plongée dans la richesse de la culture yiddish populaire » (Pierre Ahnne). Lire toute la chronique.

Benny Mer interviewé par Sandrine Szwarc. Écouter l’interview.

 

« Suivez le guide : cette rue et ses habitants valent le détour. » (Carol Binder). Lire toute la chronique.

« Ce livre est un kaddish, un Daf-ed, un témoignage déposé à Yad Vashem et, pour tout dire, la pierre mémorieuse qu’on dépose sur le tombeau du Yiddishland » (Albert Bensoussan). Lire toute la chronique.

« Benny Mer soigne notre nostalgie : il redonne vie à cette rue en délivrant de l’anonymat ses milliers d’habitants juifs disparus.  » (Nathalie Zajde). Écouter la chronique.

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