Quitter Psagot

Couverture de Comme deux sœurs

Yonatan Berg, 256 p., 22 €

Traduit de l’hébreu par Laurence Sendrowicz

Ouvrage publié avec le soutien du CNL et en partenariat avec Akadem


 

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Présentation

En revenant sur son enfance et son adolescence à Psagot, colonie juive de Cisjordanie peuplée de Juifs pratiquants, Yonatan Berg nous fait pénétrer dans un lieu peu visité, à la fois protecteur et angoissant, bucolique et violent, ouvert et fermé, souvent nourri par la peur.
Yonatan Berg ne s’est pas toujours senti à l’aise dans ce milieu. Après le service militaire et la découverte de terres lointaines, il prend la décision de quitter Psagot. Ce ne sera pas sans déchirement.

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Dans la presse

« Une véritable mise à nu, superbement écrite » (Eglal Errera). Lire toute la chronique.

« On pense au livre de Yaël Neeman Nous étions l’avenir, récit de la fin des illusions, de la violence des idéologies. Ces textes décrivent ces deux aventures humaines marquantes de l’histoire d’Israël que sont les kibboutz et les colonies. » (Emmanuelle Morau). Lire toute la chronique.

« Un récit poignant… Un livre à la fois précis et sensible  » (Ariane Singer). Visionner toute la chronique.

« Celui qui a changé de point de vue  » (Muriel Steinmetz). Lire toute la chronique.

« Une véritable sensibilité à l’autre loin des différences… Un récit à découvrir loin des préjugés«  » (Ariane Bois). Écouter toute la chronique.

 

«  Dans l’exhibition de ses contradictions, Yonatan Berg passionne  » (Antoine Spire). Écouter toute la chronique.

 

« Brillant et optimiste  » (David Rofé-Sarfati). Lire toute la chronique.

 

« Le récit de Jonatan Berg, par-delà son intérêt documentaire évident, constitue un exemple majuscule et comme exacerbé de ce à quoi s’emploie tout travail de mémoire, dans son effort simultané pour réparer les déchirures et pour accepter les écarts. » (Pierre Ahnne). Lire toute la chronique.

« Un beau récit sur les attachements de la mémoire ». Lire toute la chronique.

« Un texte véritablement fascinant et passionnant » (Nikola Delescluze). Écouter la chronique.

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