Motl fils du chantre

Couverture de Comme deux sœurs

Sholem-Aleikhem

Traduit du yiddish par Nadia Déhan-Rotschild et Evelyne Grumberg, 288 p. 22 €.

Ouvrage publié en partenariat avec Akadem

     

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Présentation

Le petit Motl vient de voir mourir son père, qui était chantre à la synagogue. Devenu orphelin, il doit exécuter les tâches quotidiennes que lui imposent sa maman et sa vie de misère. Motl décide de les raconter avec son regard d’enfant juif d’Ukraine du début du XXe siècle. Et comme il n’a plus rien à perdre, Motl rêve de quitter l’Europe pour l’Amérique…
On retrouve avec le Motl de Sholem-Aleikhem ce qui aurait pu inspirer René Goscinny et son petit Nicolas, la légèreté pour raconter des événements pas forcément légers.
Ce roman est l’un des grands classiques de la littérature yiddish. Des générations de Juifs d’Europe orientale et de nombreux Juifs immigrés en Europe occidentale ou en Amérique se sont identifiés à Motl. Il s’agit d’un petit bijou d’humour et de sensibilité.

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Dans la presse

« Un fabuleux roman picaresque » (Ariane Singer) ? Lire toute la chronique.

«  Vue par l’innocent Motl, l’odyssée s’avère rocambolesque » (Frédérique Roussel). Lire toute la chronique.

 

« … qui caractérisent le chef-d’œuvre de Sholem-Aleikhem, Motl récemment paru aux éditions de L’Antilope dans la brillante traduction de Nadia Déhan-Rotschild et Evelyne Grumberg, tandem de traductrices du yiddish rodé de longue date à l’humour tendre et acerbe de l’auteur juif ukrainien. » (Carole Ksiazenicer-Matheron). Lire toute la chronique.

« un enfant juif d’Ukraine du début du XXe siècle qui rêve de quitter l’Europe pour l’Amérique » (bonnes feuilles). Lire tout l’extrait.

 

«  Quel plaisir de lire une fois encore Sholem-Aleikhem. Qui nous peindrait la misère extrême sous des couleurs aussi plaisantes ? » (Henri Raczymow). Lire toute la chronique.

« Un des grands classiques de la littérature yiddish » (Carol Binder). Lire la chronique.

« Une traduction absolument fabuleuse » (Nathalie Zajde). Écouter la chronique.

 

« Ce Motl, quel conteur ! » (Pierre Ahnne). Lire la chronique.

« Avec ce qu’il faut – et même plus – de recul, de tendresse et d’humour… » (Michel Dargel). Lire toute la chronique.

 

« L’un des fleurons de la littérature yiddish » (Maurice-Ruben Hayoun). Lire toute la chronique.

 

« Ce livre admirable, véritable testament d’une des grandes voix du monde yiddish, est à lire sans plus tarder, dût-on rire et pleurer jusqu’au bout de l’ukrainienne nuit. » (Albert Bensoussan). Lire toute la chronique.

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