Le chevalier Paris et la princesse Vienne

Couverture de Comme deux sœurs

Elia Levita
288
p., 30 €

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Ouvrage publié en partenariat avec Akadem et grâce à un financement participatif auquel ont répondu plus de 70 personnes.

ABCD

Avec l’aide du CNL pour la promotion de ce livre

 

Présentation du roman courtois

Pour la première fois, un poème épique écrit en yiddish ancien est traduit en français. Cet événement, l’Antilope le doit à Arnaud Bikard, maître de conférences en culture et langue yiddish à l’Inalco (Paris) et spécialiste de littérature yiddish ancienne.
Arnaud Bikard s’est attelé avec passion à la traduction de Pariz un Vienè, un roman courtois yiddish écrit en vers, et propose avec sa traduction sous le titre Le Chevalier Paris et la Princesse Vienne, une véritable prouesse, puisqu’il respecte la forme du poème épique avec plus de six mille vers en alexandrins.
Pariz un Vienè est l’adaptation d’une grande histoire d’amour entre le chevalier Paris et la princesse Vienne, écrite en provençal et intitulée Paris et Vienne, en référence aux deux villes françaises. Plus tard, cette version provençale a été adaptée dans la plupart des langues européennes. Pour la version yiddish, Elia Levita, qui vivait en Italie, s’inspire de la version italienne.
Chacun des dix chants de ce poème épique est introduit par un prologue satirique – une innovation poétique majeure héritée de L’Arioste, un grand poète italien contemporain de Elia Levita – grâce auquel l’auteur tend un miroir à la société juive.
Son roman relate, sous une versification très fine, l’histoire d’amour entre Paris et Vienne. L’union entre Paris, fils de messire Jacques, et Vienne, fille unique de Dolphin et de Diane, est impossible. Leur passion est contrariée par le poids des contraintes sociales. Sans compter les mille et une embûches et les épisodes guerriers qui constituent autant d’intrigues dans l’intrigue.
Avec la version yiddish, Elia Levita modifie radicalement la portée du poème : ce n’est plus seulement un roman courtois, mais un texte juif imprégné d’une connaissance profonde des pratiques et des croyances juives.

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Dans la presse

« On ignore, en général, que la littérature yiddish a commencé au Moyen Âge » (Jean-Claude Perrier). Lire la chronique.

« Un trésor pour toujours et aussi pour aujourd’hui » (Nicolas Weill). Lire la chronique.

« Un humanisme qui dépasse les clivages religieux » (Alice Ferney). Lire la chronique.

« Le chevalier Paris et la princesse Vienne nous transporte dans un monde rêvé où s’unissent de nobles amants qui pulvérisent les interdits. » (Martine Gozlan). Lire la chronique.

« Poésie épique et de coeur » (Salomé Kiner). Lire l’article.

 

Arnaud Bikard invité sur France Culture dans « Talmudiques » pour parler d’Elia Levita et de sa traduction du roman « Le chevalier Paris et la princesse Vienne ». Écouter le premier épisode du podcast. Écouter le second épisode du podcast.

 

 

« Appropriation teintée de réalisme psychologique et social de la matière épique chrétienne » (Carole Ksiazenicer-Matheron). Lire l’article.

 

Bonnes feuilles du poème parues dans la revue K. Lire les bonnes feuilles.

 

Le chevalier Paris et la princesse Vienne dans les Cahiers de Bernard Lazare. Lire l’article.

 

 

L’interview d’Arnaud Bikard par Sandrine Szwarc pour Radio Shalom. Écouter le podcast.

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