L’été où mon père est mort

Couverture de Comme deux sœurs

Yudit Kiss
336
p., 23 €

Ouvrage publié avec le soutien de la fondation Rothschild – Institut Alain de Rothschild, du Centre national du livre et en partenariat avec Akadem.

 
 
 
 

Présentation du récit

Le père, un héros pour la narratrice, va bientôt mourir. Sa fille n’a de cesse de l’entourer, d’être présente et d’essayer de lever le mystère de sa vie.
Enfant juif, il a été sauvé pendant la guerre d’une mort certaine grâce à sa propre mère. Sans attendre que la Hongrie rejoigne l’Allemagne, elle l’a emmené loin de la capitale et l’a caché dans un orphelinat.
Après la guerre, l’identité juive du héros s’éloigne, laissant la place à une autre identité : le communisme. L’enfant devenu adulte va croire au système et par là même accepter ses dérives.
À travers l’histoire de son père, Yudit Kiss met en évidence une identité juive bien différente de celle d’Europe occidentale : celle des populations juives des pays de l’ex-bloc communiste, plus précisément ici de la Hongrie.

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Dans la presse

Bonnes feuilles du roman parues dans la revue K. Lire les bonnes feuilles.

 

« Ce remarquable récit d’un aveuglement politique et identitaire se double de l’histoire intime d’une jeunesse derrière un rideau de fer en voie d’effritement. » (Ariane Singer). Lire la chronique.

« À travers l’histoire de son père, Yudit Kiss met en évidence une identité juive bien différente de celle d’Europe occidentale ». Lire l’article.

« Budapest est « la maison » de Kiss, heimat la ramenant vers celui qui occupe ses pensées : son père, auquel ce livre rend un hommage vibrant » (Carol Binder). Lire l’article.

« La fille d’un pilier intellectuel de la Hongrie socialiste décape la cécité volontaire et l’entêtement sacrificiel à l’œuvre chez son père, juif transfuge » (Antoine Perraud). Lire l’article.

« Un très beau livre » (Myriam Anissimov). Lire la chronique.

« L’écrivaine hongroise trouve le parfait dosage entre humour, émotion, sentiment du tragique » (Pierre Ahnne). Lire la chronique.

« Cela faisait longtemps que je n’avais lu un livre aussi profond, d’une humanité peu commune » (Henri Raczymow). Lire la chronique.

 

« Un livre remarquablement écrit » (Nathalie Zajde). Écouter la chronique.

 

« Un des apports majeurs de la production littéraire de cette année » (Albert Bensoussan). Lire la chronique.

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