Dibbouks

Couverture de Comme deux sœurs

Irène Kaufer
224 p., 18,00 €

Ouvrage publié en partenariat avec akadem.

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Présentation du roman

Dans la croyance populaire juive, le dibbouk est l’âme d’un mort qui vient s’incarner dans le corps d’un vivant. Ici, la narratrice est obsédée par une quête familiale. Son père, rescapé de la Shoah, a laissé un témoignage dans lequel il raconte comment, lors de sa déportation, il a été séparé de sa fille.
Qu’est-elle devenue ? Elle a disparu à jamais.
Mais la narratrice, elle, se laisse peu à peu envahir par le dibbouk de cette sœur. Elle n’a de cesse, dès lors, de se lancer à la recherche de Mariette.
Un roman plein d’humour sur un sujet sensible.

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Dans la presse

« L’humour appuyé de la romancière et son inventivité débridée permettent à son récit de s’affranchir du témoignage autobiographique pour composer une histoire tragicomique dans la lignée des romans de Philip Roth ou Shalom Auslander. » (Ariane Singer). Lire toute la chronique.

« On téléphone à Bruxelles pour demander à Irène Kaufer comment il se fait qu’elle publie si tard un premier roman si abouti » (Claire Devarrieux). Lire toute la chronique.

 « Un texte qui met les maux en mots, grâce au bouclier de l’humour et de l’autodérision, qu’Irène Kaufer manie avec une justesse
désarmante. » (Sabine Panet et Corinne Ricuort). Lire tout l’entretien.

Podcast de la série « Créatrices » proposé par Axelle magazine, consacré à Irène Kaufer. Écouter le podcast.

 

« Un suspens intense » (Ariane Singer). Visionner la chronique.

« Un beau livre juste, émouvant, dont on apprécie le ton simple, détaché » (Henri Raczymow). Lire toute la chronique.

« Toute la saveur de cette histoire réside dans cette interrogation qui finit par tarauder le plus rationnel des lecteurs. » (Carol Binder). Lire toute la chronique.

Irène Kaufer est l’invitée culture de Fabrice Grosfilley. Écouter l’interview.

 

 

« Sa lecture mêle malaise et rire, doute et effroi par son écriture directe ainsi que par l’humour, étonnamment mais continuellement présent » (July Robert). Lire toute la chronique.

« Un texte subtil et merveilleusement construit » (Nathalie Zajde). Écouter toute la chronique.

 

« Les mots de Julian Tuwim de résonner différemment lorsque la narratrice revenue de sa quête des dibbouks les lit à haute voix. Le lecteur alors frissonne et n’a plus qu’une envie : conseiller ce bouleversant roman à chacun. » (Frédéric L’Helgoualch). Lire toute la chronique.

 

«  Et voilà que le dibbouk retient, aujourd’hui, notre attention, alors que paraît, terriblement beau et poignant, le roman d’Irène Kaufer » (Albert Bensoussan). Lire toute la chronique.

« Pour tous les mal morts parmi les siens, et pour tous les autres, Irène Kaufer a élevé un tombeau en forme d’oxymore et de tour de force : poignant et gracieux. » (Pierre Ahnne). Lire toute la chronique.

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